Pour passer le temps et comme il ne savait pas trop quoi faire il se pressa d'aller dans un endroit où personne ne le dérangera.
Il avait eu une envie soudaine d'être seul.
Puisqu'aucun élèce ne voulais pas lui parler, et comme il ne voulais pas leur forcer la main. Il préférait rester seul, et le seul endroit où il pouvait l'être c'était la forêt ancestral.
Il entra par les deux porte en plexiglace qui s'ouvrait sur les côtés quand on s'en approchait. Il passa donc les portes et entra dans la forêt.
Elle était sombre, inquiétante, mais il s'avança. Il sentit une présence, mais il ne fit pas attention, il continua son chemin. Au bout de quelques minutes, il sentait toujours la présence. Il pressa le pas pour semmer la chose qui le suivait. Mais rien a faire, elle était toujours là.
Soudain elle lui sauta dessus, à la figure.
Avec ses mains, il essaya de se défaire de son assaillant. Mais rien n'y faisait, il restait collé à lui comme une pieuvre. Avec ses mains il diserna des mains et des pieds, et une tête à crâne chauve. Il reconnu aussitôt le monstre qui s'attaquait à lui : un blober. Mais il ne savait pas quoi faire. A si la directrice était là, elle saurait quoi faire. Mais elle n'était pas là, il devait se débrouiller seul, il devait assumer sa solitude.
Le monstre commença à lui manger la peau du visage, une douleur s'empara Cid. Une douleur terrible, qui fit monter en lui quelque chose. Quelque chose qu'il avait sentit un autre seul jour. Le jour de l'appel de la matéria. Il laissa son corps, son esprit et son âme s'imprgné de cette force. Sans savoir comment il réussit, le blober se détacha. Il tendit sa main, devenue lumineuse, et l'approcha du monstre. Celui-ci disparu dans un tourbillon de flammes. Il ne restait plus que des cendres quand Cid retira sa main de ce qui restait de la créature.
Il avait à nouveau fais l'expérience de la puissance de la matéria.
Ebahie, il s'assied, en contemplant les cendres et en réfléchissant sur ce qu'il venait de faire.